Les obligations jouent un rôle crucial pour aider les investisseurs à atteindre leurs objectifs de placement. Elles génèrent des revenus, procurent une certaine protection du capital et peuvent atténuer la volatilité.
Le Fonds d’obligations mondiales Invesco a célébré son troisième anniversaire en beauté, terminant dans le premier quartile de son groupe de pairs.1 L’équipe de gestion de portefeuille a su tirer son épingle du jeu en modifiant la répartition de l’actif afin d’encaisser les hausses pendant les périodes de prospérité et de protéger l’actif pendant les périodes plus difficiles. Les placements dans des obligations de sociétés, des titres adossés à des créances immobilières et des titres des marchés émergents ont permis de générer des rendements pendant les accalmies, tandis que la forte pondération d’obligations d’État mondiales a permis de stabiliser le rendement pendant les épisodes de volatilité.
Chaque année, les investisseurs peuvent consulter un rapport de comparaison des rendements des fonds gérés activement par rapport à ceux de l’indice S&P 500. Le SPIVA® U.S. Scorecard1, publié par S&P Dow Jones Indices, brosse généralement un tableau plutôt sombre des gestionnaires actifs de fonds d’actions américaines.
À la fin de l’année, de nombreux investisseurs qui ont des comptes imposables cherchent à se départir de titres qui ont perdu de l’argent. La stratégie de vente à perte à des fins fiscales leur permet de réclamer une perte en capital pour réduire leurs gains en capital pour l’année en cours. Toute perte en capital nette non utilisée peut réduire les gains en capital imposables réalisés au cours de l’une ou l’autre des trois années précédentes, ou peut être reportée prospectivement indéfiniment. Pour réaliser des gains et des pertes en capital en 2018, les opérations doivent être effectuées au plus tard le jeudi 27 décembre pour que le règlement prenne effet le lundi 31 décembre, dernier jour ouvrable de 2018.
Notre position sur la rémunération intégrée est bien documentée depuis des années. Invesco a toujours défendu le choix des épargnants dans le débat sur les fonds communs de placement et les structures de frais des courtiers. Nous estimons que c’est un enjeu important parce que les épargnants ne sont pas tous pareils et tous les épargnants n’ont pas besoin des mêmes structures de frais et ne sont pas tous attirés ni avantagés par la même structure de frais.
Après plusieurs années de débats, les Autorités canadiennes en valeurs mobilières (ACVM) ont annoncé de nouvelles directives au sujet de la rémunération des conseillers et proposé des changements importants à la façon dont les sociétés et les personnes physiques inscrites font affaire avec leurs clients. En septembre, les ACVM publieront pour consultation un projet de modification de la réglementation sur la rémunération des conseillers. J’aimerais m’exprimer ici sur chacun de ces points.
La volatilité accrue en février a eu une incidence à la fois sur les actions et les titres à revenu fixe, rappelant à tous les investisseurs les ravages que peut causer la fluctuation des taux d’intérêt sur leurs portefeuilles. La correction s’est produite alors que les taux des obligations américaines augmentaient, signalant une liquidation sur les marchés des titres de créance tout en rendant les actions moins attrayantes.
Comme vous le savez, Invesco est un ardent défenseur de la préservation des choix sur les marchés, ce qui permet aux conseillers et à leurs clients de choisir le modèle d’affaires qui répond le mieux à leurs besoins. On m’a récemment demandé de participer au symposium d’Advocis 2017 qui s’est tenu à Toronto. Le thème de l’événement était « Inflection Point » (Le « Point tournant ») et je crois que c’est exactement là où en est l’industrie. J’ai eu un entretien avec Greg Pollock, président et chef de la direction d’Advocis, au cours duquel nous avons discuté de l’avenir de la rémunération intégrée.
La récente remontée des taux d’intérêt à court terme a rappelé aux épargnants en quête de revenu que leur portefeuille obligataire demeure exposé au risque. Les hausses des taux d’intérêt ont tendance à éroder la valeur du portefeuille obligataire des épargnants, si bien qu’une portion de leur portefeuille, qui est censée être relativement sûre, est vulnérable aux replis des marchés.
J’ai lu récemment dans le Vancouver Sun un article d’opinion de Wanda Morris, vice-présidente, Action revendicatrice, à l’ACIR, dans lequel elle expose la position de son organisme sur la rémunération intégrée des conseillers financiers.
Le 18 juillet 2017, le ministère des Finances du Canada a publié un document de consultation et des propositions législatives portant sur l’utilisation de diverses stratégies de planification fiscale au moyen de sociétés privées (aussi appelées petites entreprises canadiennes). Pendant la période de consultation, qui s’est terminée le 2 octobre 2017, le public a eu l’occasion de commenter les modifications proposées. Le Gouvernement a reçu 21 000 soumissions au cours de cette période. Les annonces de modifications aux propositions se sont poursuivies en octobre 2017 (voir plus bas), culminant avec la publication le 24 octobre 2017 de l’Énoncé économique de l’automne. Un résumé à jour des propositions figure ci-dessous.
Les obligations sont d’une importance cruciale pour aider les investisseurs à atteindre leurs objectifs de placement. Elles produisent un revenu, offrent une protection du capital et peuvent atténuer la volatilité.
Nous avons récemment soumis un autre commentaire aux autorités en valeurs mobilières canadiennes au sujet de la consultation continue sur l’avenir de la rémunération intégrée.
Dans l’environnement actuel de faibles rendements, les résultats des placements à revenu fixe laissent à désirer. Bon nombre de conseillers cherchent à diversifier les portefeuilles de leurs clients au-delà des catégories d’actif à revenu fixe traditionnelles et les prêts privilégiés s’avèrent une option à taux variable intéressante pour certains épargnants.
Récemment, l’un de nos fonds Invesco, le Fonds international des sociétés Trimark, a été reconnu comme un exemple de la façon dont la gestion véritablement active peut surclasser les indices de référence. Bien que l’équipe mérite les éloges reçus, ceux-ci ont été décernés dans un commentaire qui semblait peindre un portrait négatif de la gestion active.
La science du comportement moderne a révolutionné des secteurs diversifiés comme la médecine, la politique gouvernementale et la gestion sportive. Selon moi, elle a le potentiel de faire de même pour la finance comme on a pu l’observer avec les FNB factoriels à bêta intelligent.
L’indice S&P 500 a gagné plus de 11 % depuis l’élection présidentielle aux États-Unis, mais nous avons constaté récemment la première baisse quotidienne de +1 % du S&P 500 depuis plus de trois mois.1
Partout au Canada, les conseillers et les épargnants accèdent aux données sur le marché par le biais d’outils sophistiqués comme Bloomberg et Thomson ONE. Ces données comprennent le prix, le cours acheteur/vendeur et le volume les plus récents, des éléments qui jouent tous un rôle important dans les décisions en matière de négociation.
Récemment, j’ai présenté une allocution dans le cadre des Forums exécutifs Morningstar à Toronto et à Vancouver, traitant de l’avenir du secteur des conseils financiers. Ce sujet n’a jamais autant été d’actualité, alors que ce secteur vit des soubresauts technologiques, et qu’il anticipe de nouvelles réglementations qui vont modifier le paysage de manière draconienne.
Pas facile de mettre la main sur des placements productifs de revenus dans la conjoncture actuelle. Or, de nombreux épargnants ont comme premier objectif de placement de toucher un dividende mensuel. Comme les occasions de placements canadiennes offrent peu d’avantages au chapitre de la diversification, de nombreux épargnants veulent investir au-delà de nos frontières pour bénéficier d’un revenu de dividendes plus diversifié.